Ce matin je me sens bien.
Ce matin, en arrivant à mon bureau, une pensée a traversé mon esprit : si tout se passe bien, dans peu de temps la masse de paperasses que je dois traiter sera divisée par cinq ! Et je dois avouer que cette perspective me réjouit. Sans compter les bulletins de salaire eux-même, des cinq formulaires que je dois perdre mon temps à remplir, des cinq chèques que je dois honorer, il ne va bientôt en rester qu'un !
Car embaucher c'est aussi cela : faire quatre fois les mêmes additions, pour trois organismes différents, et payer sans retard sinon 10% de pénalité tombent tout de suite, avec évidement un montant minimal. Sans compter qu'un d'entre eux doit vraiment avoir du mal avec les chiffres, car il demande chaque année de lui faire parvenir un bordereau supplémentaire qui ne contient que la somme de ce qu'on lui a déjà communiqué !
Et pourtant, au moins deux solutions existent :
Car embaucher c'est aussi cela : faire quatre fois les mêmes additions, pour trois organismes différents, et payer sans retard sinon 10% de pénalité tombent tout de suite, avec évidement un montant minimal. Sans compter qu'un d'entre eux doit vraiment avoir du mal avec les chiffres, car il demande chaque année de lui faire parvenir un bordereau supplémentaire qui ne contient que la somme de ce qu'on lui a déjà communiqué !
Et pourtant, au moins deux solutions existent :
- La libérale : on paye l'employé son salaire brut + charges patronales (il toucherait une fois et demi ce à quoi il a droit aujourd'hui !). A lui de contracter les assurances maladie, accident, retraite (etc.) auprès des compagnies de son choix.
- L'Etatique : Sur un formulaire unique on transmet uniquement les montants (heures travaillées, salaire, primes) à l'Etat qui, en retour, renvoie des bulletins de salaire pré-remplis et une facture globale.
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